AOTEAROA, le pays du long nuage blanc

La légende raconte que lorsque les premiers Maoris naviguèrent dans les eaux tumultueuses de l'Océan Pacifique à bord de leurs gigantesques canoës, ils remarquèrent au loin un très long nuage blanc. Ils le suivirent et c'est ainsi qu'ils arrivèrent jusqu'à la terre. Ils la nommèrent "Aotearoa" le pays du long nuage blanc.


samedi 18 décembre 2010

Auckland

Bienvenue en terre Maorie.



Aéroport d'Auckland. On ressent tout de suite une agréable sensation d'être bien tout simplement. Les gens sont attentifs et souriants. Réception des bagages et de nos vélos qui n'ont pas souffert du transport. Il faut tout de même les passer au rayon X !!! Chaleur et soleil nous plombent...
Arrivée chez Angela qui nous accueille le temps de notre séjour dans la ville (merci Julien). C'est son amie Zara qui nous reçoit. Notre anglais est mis à l'épreuve. De plus, les Néo-Zélandais parlent vite et ils ne terminent pas la fin de leur mot. Il faut s'adapter !
Trois jours dans la ville pour se reposer, faire des achats qui nous manquent puis réserver le train pour Te Kuiti. Bruno remonte les vélos. Préparer les sacoches. Optimiser le poids pour ne pas être trop lourd ! Pour Bruno, 30 kg de sacoches. Pour ma part, 25 kg environ... Ne pas trop y penser...
La ville est agréable. C'est la troisième ville au monde où la quiétude de vie est bien réelle. Tours nouvelles et maisons coloniales. Les dernières semblent survivre malgré tout au milieu de cette architecture moderne. Mélange d'époque et trace d'une histoire, d'une conquête de l'homme envers l'homme... D'autres semblent mourir pour devenir des fantômes...
Visite du Musée national pour tenter de saisir l'histoire et la culture Maori. Beaucoup de sculptures sur bois comme leur canöe, leur maison. Des bijoux simples taillés dans la pierre de Jade avec une symbolique pour chaque forme. Des tableaux qui montrent les tatouages des hommes et des femmes dont la forme principale est la spirale et symbolise la fougère enroulée. Les hommes sont tatoués sur tout le visage. Quant aux femmes, elles le sont sur la bouche et en-dessous seulement.
Il fait chaud. 35 °. On sort les sandales. Et ici, fêtent-ils Noël ? Quelques décorations nous le rappellent ainsi que les vitrines de magasins mais rien d'excessif ni d'abondant. Et le Père Noël arrive-t-il jusqu'ici ? Nous l'avons vu quelque part dans une rue, affaibli...

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